viernes, 2 de abril de 2010

En rêvant...

C'était la nuit quand je suis eté à l'Anglaterre. Une fête, une maison a cotê de Notting Hill, ou je departie avec mes amies anglaises. En souriant, me rappele de cette soirée très bien: en attendant des personnes que me sont presentés, je le voix entrer comme une magnetique vision, blonde, jeune, très haut, sa sourire amable, joyeux, avec ses cheveaux qui se meuvent en mesure à la musique du salon, me font sentir comme si un scintillement de lumière pouvait traverser l'obscurité de mon être, fácilement, sans aucun barrière. Oui, je sais que c'est un rêve, mais je décide que je vais profiter de cela comme quelque chose d'unique et spécial. Et irrepetible, un pardessus.

Il est prochaîne a moi et en tremblant, continue en parlant au bel homme qui a un type d'âme spécial: réconfortant, paisible, qui offre une paix à mes sens tandis qu'il me parle. J'il vois accueillir les plus grandes femmes qui lui demandent pour danser avec lui . Il accepte aimablement, s'excuse un second et revient aussitôt qu'il a laissé sa invitée dans le lieu d'où s'est levé. Il dirige son regard à moi et son calme me rend une sensation de bonheur. Je le désire, le désire et un moment après nous nous trouvons seuls, des parties de gens, ses deux mains sur les miennes, ses lèvres proches, oh mon Dieu je ne peut pas crois que c'est possible! la tiédeur de sa poitrine où son coeur latirá plus vite, sera mienne, pour un instant comme si était une eternitée... nous faisons l'amour, il me couvre avec son corps, avec ses suspirs, avec tout l'amour du monde en ses bisous. Je crois que je pourrais mourir en ce précise momment, que rien m'importe pas qu'être entre ses bras, que respirer près de l'amour furtif du plus bel homme, qui vit dans mes rêves. Dans ce sommeil unique qui voulait, revenir pour lui revoir encore une fois....

Primavera

Amanece, los días son más claros,
la suerte parece brillar,
la calidez del viento
acompaña nuestro andar.

Cielo azul despejado,
que alumbra cada paso,
cada espacio,
fulgurante, despreocupado.

El amor, renovado en cada vena,
develado ante un nuevo año,
que despierta con toda esa verbena,
dejando atrás el pasado que hace daño.

Sé que estás por ahí, sin hallarme,
sin saber que mis labios para tí están,
dulces como ambrosía
plenos bajo la luna llena.

Tanto te he buscado,
tanto he caminado,
que este año debajo de un roble,
te esperaré para que puedas encontrarme.

No sé de qué color tendrás los ojos,
ni conozco la tersura de tus manos,
puede que en mi espera llegues,
si es que también me andas buscando.

En marzo las flores se regocijan
con la tibieza del sol,
los tulipanes abren sus pétalos
Que le miran absortos pasar.

Así esperaré uno ,cada año,
que aparezcas por aquí,
para darme la alegría de tu luz,
contando estrellas al anochecer,

Añorando tu llegada, cada amanecer.